This article discusses the current migration policies in the Dominican Republic and other Caribbean countries. It describes how the 2013 migration crisis and the following Constitutional Court ruling set new requirements for acquiring Dominican citizenship. This caused an international outcry because the verdict retroactively denied Dominican nationality to anyone born after 1929 who did not have at least one parent of Dominican blood, even if their births were recorded in the civil ministry. Tens of thousands of Dominicans of Haitian descent were left behind in legal limbo or without any nationality. González states that poor women are more likely to be deported due to migration policies that favour people with documented jobs or registered businesses. (Summary by Mouka)
Cet article traite des politiques migratoires actuelles en République dominicaine et dans d’autres pays des Caraïbes. Il décrit comment la crise migratoire de 2013 et l’arrêt de la Cour constitutionnelle qui a suivi ont fixé de nouvelles exigences pour l’acquisition de la nationalité dominicaine. Cela a provoqué un tollé international, car le verdict a refusé rétroactivement la nationalité dominicaine à toute personne née après 1929 qui n’avait pas au moins un parent de sang dominicain, même si leur naissance était enregistrée au ministère de l’état civil. Des dizaines de milliers de Dominicains d’origine haïtienne se sont retrouvés dans le flou juridique ou sans aucune nationalité. González affirme que les femmes pauvres sont plus susceptibles d’être déportées en raison des politiques migratoires qui favorisent les personnes ayant un emploi documenté ou une entreprise enregistrée. (Résumé par Mouka)