28 novembre : Une date symbolique de notre histoire de peuple dans ses luttes pour la liberté d’expression. En 1980, des femmes et des hommes, en particulier des journalistes, ont payé un lourd tribut pour obtenir ce droit précieux. Onè respè pou yo ! Ce droit durement conquis, les féministes entendent l’exercer.
Groupe d’appui au développement du Sud (GADES)
7 février 2021 : Les féministes prônent le respect de la Constitution
	      KAY FANM, 
	      
	      Solidarite Fanm Ayisyèn (SOFA), 
	      
	      Fanm Deside, 
	      
	      Rezo Fanm Radyo Kominotè Ayisyen (REFRAKA), 
	      
	      Nègès Mawon, 
	      
	      Fanm Yo La, 
	      
	      Groupe d’appui au développement du Sud (GADES), 
	      
	      Fondation Toya, 
	      
	      Asosiyasyon Fanm Solèy Dayiti (AFASDA), 
	      
	      Marijàn, 
	      
	      Dantò, 
	      
	       Sabine 
    	  Manigat et 
	      
	       Antoinette 
    	  Duclaire
  
            2021
      dans
Résumé
              Résumé : 
          Le présent texte est une publication de groupes féministe dénonçant leur réalité. Selon elles, l’application de l’État de droit et de la Constitution n’est pas respectée par le pouvoir du président Moïse, qui utilise le concept de démocratie pour ses propres fins et ne se soumet pas à la législation. Le mouvement féministe haïtien le dénonce et réclame l’instauration d’un vrai pouvoir démocratique. (Résumé par Mouka)
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