Throughout the United States occupation of Haiti (1915–1934), supporters of the armed invasion pointed toward the transportation infrastructure as the principal contribution of the intervention. Although many of the thoroughfares were built using forced labor, Haitian-American contact on roads, bridges, and railways blurred the boundaries between the occupied and the occupiers. Traffic exchanges on the occupied streets and bridges of Haiti simultaneously revealed social and political anxieties of the period and also facilitated moments where women challenged and complied with the US military invasion.
Tout au long de l'occupation d'Haïti par les États-Unis (1915-1934), les partisans de l'invasion armée ont pointé désigné les infrastructures de transport comme étant la principale contribution de l'intervention. Bien que de nombreuses voies de communication aient été construites en utilisant le travail forcé, le contact entre Haïtiens et Américains sur les routes, les ponts et les voies ferrées a brouillé les frontières entre les occupés et les occupants. Les échanges de trafic dans les rues et les ponts occupés d'Haïti ont simultanément révélé les angoisses sociales et politiques de l'époque et ont également facilité les moments où les femmes ont défié et se sont pliées à l'invasion militaire américaine.