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Articles de revue et chapitres de livres

Sexual and Familial Institutions in Northern Haiti

Simpson, George Eaton
1942

dans
American Anthropologist
44
4
655-674
ISSN
0002-7294
Mots-clés
droits des femmes
corps/sexualités
familles
rural/agriculture
Résumé
Résumé :

This text explores the dynamics and complexities within familial groups in rural areas of Northern Haiti. Simpson states that the bonds within these families are not only relational but also based on participation in agricultural labour as well as religious practices. It discusses salient features of sexual and familial institutions in Northern Haiti. In addition to families established through legally recognized civil or ecclesiastic ceremonies, Simpson refers to a socially approved sexual and economic relationship between a man and a woman he calls placée. The nature of this relationship often depended on the economic position of women including whether she owned her own land and home. A woman of higher economic rank may not be limited to one man, and the individual who visited her most often could not reproach another man when he may find him. (Summary by Mouka)

Ce texte explore les dynamiques et les complexités au sein des groupes familiaux dans les zones rurales du nord d’Haïti. Simpson affirme que les liens au sein de ces familles ne sont pas seulement relationnels, mais aussi basés sur la participation au travail agricole ainsi que sur les pratiques religieuses. Il discute des caractéristiques saillantes des institutions sexuelles et familiales dans le nord d’Haïti. En plus des familles établies par des cérémonies civiles ou ecclésiastiques légalement reconnues, les Haïtiens reconnaissaient une relation sexuelle et économique socialement approuvée entre un homme et une femme qu’il appelle placée. La nature de cette relation dépendait souvent de la position économique de la femme, notamment du fait qu’elle soit ou non propriétaire de sa terre et de sa maison. Une femme de rang économique supérieur pouvait ne pas être limitée à un seul homme, et l’individu qui lui rendait le plus souvent visite ne pouvait pas reprocher à un autre homme de le trouver. (Résumé par Mouka)

Lien externe
http://www.jstor.org/stable/663313

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