Tous droits réservés. Republié avec l'autorisation du·de la détenteur·rice du droit d'auteur et de l'éditeur·rice, Ministère à la Condition féminine et aux Droits des femmes.
Suivi Belem Do Para
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Ce texte aborde l’intensification de la violence faite aux femmes en Haïti, à la suite de la crise politique de 2004 et à la désorganisation du Ministère à la Condition Féminine et aux Droits des Femmes (MCFDF). En plus de l’utilisation du viol comme arme politique, les femmes haïtiennes sont souvent marginalisées, puis réduite à l'économie informelle. On explique ici les discriminations persistantes dans l'éducation des filles, avec un accès inégal et des taux élevés de décrochage scolaire, ainsi qu’une représentation politique limitée.
Les parlementaires ont modifié la Constitution haïtienne de 1987 à 104 reprises, regroupées en trois catégories. Ce recueil analyse ces changements, notamment ceux du pouvoir exécutif datant du 13 mai 2011 concernant les amendements pour erreurs matérielles, qui affectent divers articles comme ceux sur la nationalité et les procédures législatives. La constitution vise à instaurer un régime basé sur les libertés, les droits humains, la paix sociale, l'équité économique et l'équité de genre, passant par la consultation populaire et une décentralisation efficace.
Ce texte analyse l'évolution des dispositions constitutionnelles haïtiennes relatives aux droits des femmes entre 1843 à 2015. Il met en lumière les modifications parlementaires apportées à la Constitution haïtienne de 1987, permettant de comprendre comment la place des femmes dans la société haïtienne a évolué au fil des années. Il examine notamment l'article 260, qui garantit une protection égale à toutes les familles, qu'elles soient constituées ou non dans les liens du mariage. (Résumé par Mouka)
Cette étude s’intéresse à la nuptialité et aux différentes configurations familiales dans les Caraïbes et démontre que le régime matrimonial et les structures familiales présentent une grande stabilité, contrairement à l’idée répandue. En partant du constat que l’esclavage a joué un rôle décisif dans le peuplement des Caraïbes, l’étude fait l’hypothèse que, conformément à l’idée répandue, les formes familiales actuelles sont encore marquées par les origines esclavagistes de la population.
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Plus de siècles après notre indépendance, et plus de 30 ans après la publication de la Constitution de 1987, notre législation contient toujours un ensemble de textes discriminatoires et désuets en contradiction tant avec les prescrits de la loi mère qu’avec les Conventions internationales ratifiées par Haiti. Ces discriminations de notre législation défavorisent plus de 65% des familles haïtiennes au sein desquelles les femmes sont les plus pénalisées. Ces carences ont été analysées au regard de la Constitution de 1987 amendées, et des Conventions internationales ratifiées par Haiti.
«Femmes haïtiennes : 60 parcours d’exception» rassemble des portraits réalisés par Winnie Hugot Gabriel. Tous les textes ont été publiés à la une du quotidien Le Nouvelliste entre 2015 et 2018. Ce livre est le fruit d’un projet conjoint ONU Femmes-Le Nouvelliste. L’organisme des Nations unies désirait un panorama de trente femmes haïtiennes leaders, le journal a agrandi le cercle pour présenter soixante femmes de divers horizons pour un portrait plus complet des luttes, des conquêtes et des difficultés des femmes haïtiennes.