Ce texte traite de l’ajout de femmes à des postes décisionnels au sein du gouvernement. Il pose la question suivante : permettront-elles de faire approuver des réformes améliorant la condition de vie de femmes haïtiennes ou seront-elles plutôt l’instrument d’un coup de publicité du gouvernement ? Ces femmes sont-elles rémunérées équitablement, détiennent-elles un réel pouvoir ? Puisque les hommes sont encore majoritaires au sein du gouvernement, en résultera-t-il quelque chose de réellement significatif ?

Au moment des luttes contre l’occupation américaine, la conscience sociale féminine s’est formée et, en 1934, le premier regroupement féministe d’Haïti a été créé : il s’agit de la Ligue féminine d'action sociale. Malgré son interdiction rapide, il produit, sous la direction d’un comité de femmes engagées, un programme novateur visant à l’amélioration de la condition des femmes haïtiennes, sur les plans économique, physique et social.

The movement of people and capital around the world necessitates that we explore the ways in which women interact with food through varying enterprises. Many of these activities are considered “off the books” or part of a shadow or underground economy. This alternative economic space usually involves otherwise law-abiding citizens who seek to provide for their families in ways that fall outside the formal economy. This ethnographic project examines four female street-food vendors of Jacmel, Haiti.

Malgré des prises de position de l’État pour l’amélioration de la condition des femmes, les actions en faveur de cette cause sont insuffisantes et parfois instrumentalisées. Les inégalités entre les hommes et les femmes demeurent omniprésentes dans la société haïtienne. Survol des origines du mouvement des femmes en Haïti, de sa composition, de son discours ainsi que des enjeux actuels et futurs. (Résumé par Mouka)

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