L’Enquête sur la mortalité, morbidité et utilisation des services (Emmus-VI) 2016-2017, révèle que 17% des femmes haïtiennes acceptent qu’un mari violente physiquement sa femme contre 11% chez les hommes. Le pourcentage chez les femmes a chuté de 14% entre 2005-2006 et 2012, mais ne change pas entre 2012 et 2016-2017. Pourtant le chiffre baisse toujours chez les hommes. Les actions de violence sont justifiées par des actions comme brûler la nourriture, argumenter avec le mari, sortir sans lui, négliger les enfants et refuser les rapports sexuels.
Articles de journaux
Le niveau d’instruction, un facteur déterminant dans l’indice de fécondité chez les femmes, selon l’Emmus-VI
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Absence flagrante d’amélioration dans la condition sanitaire des femmes : L’utilisation d’une méthode contraceptive, une situation alarmante en Haïti, selon la Fosref
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La Fédération nationale des maires d'Haïti condamne les violences physiques contre la mairesse principale de Tabarre par son concubin
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Le Rnddh dénonce une féminisation de la détention préventive prolongée en Haïti
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Les organisations de femmes dénoncent les actes de violences faites aux femmes en Haïti
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Plusieurs femmes, victimes de la dictature des Duvalier, se souviennent
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Des viols incestueux fréquents à Abricot, alerte la Sofa
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L'accès des femmes à la justice, un défi à relever, selon le Moufhed
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« Saj fanm pou fanm », un projet visant à réduire la mortalité maternelle en Haïti
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Ce texte discute du projet Saj fanm pou fanm qui cherche à améliorer le travail des sages-femmes haïtiennes. Le 5 mai 2019, une représentante du Ministère de la Santé publique et de la population, l’ambassadeur du Canada ainsi que le représentant du Fonds des Nations unies pour la population se sont réunis pour le lancement du projet. Celui-ci est d’une durée de 5 ans et est situé dans les endroits où il y a le moins de sages-femmes.