28 novembre : Une date symbolique de notre histoire de peuple dans ses luttes pour la liberté d’expression. En 1980, des femmes et des hommes, en particulier des journalistes, ont payé un lourd tribut pour obtenir ce droit précieux. Onè respè pou yo ! Ce droit durement conquis, les féministes entendent l’exercer.
Fondation Toya
Étude d'impact et de suivi sur les mesures de réduction des risques de la pandémie COVID-19 sur les VGB et l'agentivité des femmes et des filles en Haïti
dans
Une augmentation mondiale des violences faites aux femmes est observée à la suite des périodes de confinement dues à la pandémie de la COVID-19. En Haïti, la population était déjà restreinte aux déplacements, depuis 2018, pour des causes politiques. L’étude établit que dans ce pays, les violences envers les femmes augmentent par rapport à la situation politique et non à cause de la proximité accrue des couples pendant la pandémie. C’est plutôt la situation socio-économique, engendrée par un gouvernement inefficace en temps de crise, qui affecte les femmes.
7 février 2021 : Les féministes prônent le respect de la Constitution
dans
Le présent texte est une publication de groupes féministe dénonçant leur réalité. Selon elles, l’application de l’État de droit et de la Constitution n’est pas respectée par le pouvoir du président Moïse, qui utilise le concept de démocratie pour ses propres fins et ne se soumet pas à la législation. Le mouvement féministe haïtien le dénonce et réclame l’instauration d’un vrai pouvoir démocratique. (Résumé par Mouka)
Tous droits réservés. Republié avec l'autorisation du·de la détenteur·rice du droit d'auteur, Kay Fanm.