28 novembre : Une date symbolique de notre histoire de peuple dans ses luttes pour la liberté d’expression. En 1980, des femmes et des hommes, en particulier des journalistes, ont payé un lourd tribut pour obtenir ce droit précieux. Onè respè pou yo ! Ce droit durement conquis, les féministes entendent l’exercer.

Ce document contient les commentaires des associations de femmes sur l’avant-projet de Loi Électorale élaboré par le CEP en janvier 2008. En s’appuyant sur des textes et instruments internationaux, les associations soulignent l’importance de la participation politique effective des femmes et demandent au CEP d’adopter toutes les mesures d’accompagnement nécessaires pour promouvoir et garantir la participation des femmes à tous les échelons du processus électoral.

Le présent texte est une publication de groupes féministe dénonçant leur réalité. Selon elles, l’application de l’État de droit et de la Constitution n’est pas respectée par le pouvoir du président Moïse, qui utilise le concept de démocratie pour ses propres fins et ne se soumet pas à la législation. Le mouvement féministe haïtien le dénonce et réclame l’instauration d’un vrai pouvoir démocratique. (Résumé par Mouka)

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Ce document est un rapport de mandat de l’Organisation des Nations Unies pour les femmes. Le projet était de mettre en place diverses mesures afin de favoriser le rapport entre les femmes et le politique. La participation des femmes dans la sphère politique étant en progressive augmentation depuis la fin du régime des Duvalier, l’objectif était de soutenir cette tendance.