28 novembre : Une date symbolique de notre histoire de peuple dans ses luttes pour la liberté d’expression. En 1980, des femmes et des hommes, en particulier des journalistes, ont payé un lourd tribut pour obtenir ce droit précieux. Onè respè pou yo ! Ce droit durement conquis, les féministes entendent l’exercer.
Écrite par des hommes et décrite comme un processus masculin, la période révolutionnaire à Saint-Domingue n’a pas été racontée de manière inclusive. L’auteure s’est donné comme objectif de raviver la participation, la contribution et la collaboration féminines. Les actions des femmes n’ayant été que peu abordées par les historien.nes, il en résulte une image tronquée des femmes lors de cette période. On cherche ici à pallier cette vision erronée de la réalité. (Résumé par Mouka)
Le présent texte est une publication de groupes féministe dénonçant leur réalité. Selon elles, l’application de l’État de droit et de la Constitution n’est pas respectée par le pouvoir du président Moïse, qui utilise le concept de démocratie pour ses propres fins et ne se soumet pas à la législation. Le mouvement féministe haïtien le dénonce et réclame l’instauration d’un vrai pouvoir démocratique. (Résumé par Mouka)
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La question du rôle des femmes dans la construction de l’État au cours de la période 1804-1859 n’a pas été véritablement abordée. C’est l’un des champs intéressants à explorer. En attendant, à travers la présentation de trois historiens ayant évoqué le rôle des femmes dans la lutte révolutionnaire, Sabine Manigat soulève un pan du problème.
Le document "CEDEF pou tout moun" est une publication importante datant de 2009, rédigée par Sabine Manigat pour l'UNIFEM (Fonds de développement des Nations Unies pour la femme). Cette œuvre présente la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes (CEDEF) en créole haïtien, la rendant ainsi accessible à un large public en Haïti.
L’article pose la question du rapport des femmes à la politique. L’expérience historique révèle que l’égalité ne découle pas naturellement du droit et le féminisme analyse donc les rapports de genre en fonction de la question du pouvoir. Trois questions sont débattues à propos du cas d’Haïti : Qu’est-ce qui conditionne la participation politique des femmes? Des mesures spéciales pour promouvoir cette participation sont-elles légitimes? Et surtout: les femmes font-elles la politique autrement?
Étude de le résultat de l'analyse du problème de l'exploitation sexuelle commerciale des mineurs en Haití, les causes et les conséquences que soufrent des centaines de garçons et de filles en Haití.
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