L’œuvre d’Annie Desroy, Le Joug (1934), est revisitée par l’autrice Yvette Tardieu Feldman, qui insiste sur la nécessité de prêter une attention aux écrits féminins sans discrimination. La méconnaissance de ces œuvres générée par le paternaliste, créée des défauts dans l’histoire littéraire du pays. Le Joug témoigne de l’assimilation haïtienne par les Américains pendant l’occupation de ces derniers. Elle aborde aussi les relations interraciales, les contradictions de l’aliénation et les conditions des femmes autant américaines que haïtiennes.
Une romancière haïtienne méconnue : Annie Desroy (1893-1948)
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