Ce texte aborde l’intensification de la violence faite aux femmes en Haïti, à la suite de la crise politique de 2004 et à la désorganisation du Ministère à la Condition Féminine et aux Droits des Femmes (MCFDF). En plus de l’utilisation du viol comme arme politique, les femmes haïtiennes sont souvent marginalisées, puis réduite à l'économie informelle. On explique ici les discriminations persistantes dans l'éducation des filles, avec un accès inégal et des taux élevés de décrochage scolaire, ainsi qu’une représentation politique limitée.
Proposition du MCFDF dans le Cadre de Coopération Intérimaire (CCI)
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