Six Haitian women’s struggles to recover from rape by gangs - The New Humanitarian puts quality, independent journalism at the service of the millions of people affected by humanitarian crises around the world

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Persistance d'un problème majeur de santé maternelle en Haïti : Un enjeu critique pour l'action publique Haïti se distingue au sein des nations américaines en maintenant un taux alarmant de mortalité maternelle, reflétant ainsi la complexité du défi posé à son système de santé.

Début octobre, l’ouragan Matthew a frappé de plein fouet le pays, comme, auparavant, les ouragans Jeanne, en 2004, Gustav, Hanna et Ike, en 2008, Sandy, en 2012. Cette fois encore, on s’inquiète d’une recrudescence de l’épidémie du choléra et de l’insécurité alimentaire, de l’absence d’accès à l’eau potable et aux soins. On s’interroge sur ce qui fait, ici, plus de dégâts et de morts qu’ailleurs. Haïti est-elle condamnée à rechuter sans fin ?

Sa gen kèk lane depi medam yo ap klewonnen eslogan ki di : ‘‘fòk politik la fèt yon lòt jan an Ayiti’’. Yon chwa konsa sipoze marye ak yon refleksyon san limit sou sistèm politik k ap fonksyone nan peyi a.

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Les gangs d’Haïti, qui tiennent la majorité de la capitale Port-au-Prince, utilisent viols et violences sexuelles pour « répandre la peur » et étendre leur contrôle sur un pays déjà miné par l’insécurité, s’est alarmé l’ONU dans un rapport publié vendredi.

Depuis 1986, les femmes haïtiennes ont fait face à des défis socio-économiques graves, notamment lors du coup d'État de 1991 marqué par un viol collectif utilisé comme arme politique. Malgré ces défis, le Mouvement des Femmes Haïtiennes a connu une résurgence significative, débutant dès 1986 avec des manifestations massives, unissant des organisations comme Enfofanm, Fanm Yo La, Kay Fanm, et SOFA pour promouvoir les droits des femmes, lutter contre la pauvreté et défendre l'égalité des sexes avec détermination. (Résumé par Mouka)

28 novembre : Une date symbolique de notre histoire de peuple dans ses luttes pour la liberté d’expression. En 1980, des femmes et des hommes, en particulier des journalistes, ont payé un lourd tribut pour obtenir ce droit précieux. Onè respè pou yo ! Ce droit durement conquis, les féministes entendent l’exercer.