Haiti has long been characterized as a fragile state. Particularly since 2004, responses from the international community have focused on Haiti’s stabilization and reconstruction. Post-colonial critiques highlight the constraints imposed by these approaches, but fail to sufficiently explore forms of agency which, by resisting and redirecting external impositions, could promote political, social and economic transformation. The adoption of the National Policy for Equality between Women and Men in Haiti in 2014/15 seems to represent such potentially transformative agency.

Ce texte rapporte l’analyse faite par le Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes (CÉDEF) sur le dossier présenté par le gouvernement haïtien lors de sa quarante-troisième session. Le Comité y souligne les efforts déployés par l’État haïtien afin d’éliminer la discrimination basée sur le genre. Toutefois, le Comité se dit préoccupé par l’insuffisance de la législation haïtienne en la matière. Il formule des recommandations en lien avec la violence, la traite des femmes et les stéréotypes, et suggère de générer de nouvelles législations en ce sens.

Le rapport du Comité mandaté par l’Organisation des Nations Unies sur l’enjeu du droit des femmes en Haïti décrit ses constatations. L’une des plus apparentes est la corrélation entre la précarité économique et la discrimination systématique. Bien que certaines strates dans la collectivité soient plus touchées, les stéréotypes associés au genre sont présents dans toutes les dimensions de la société. Ce rapport développe chacune des sphères de la société en articles numérotés.

Ce document a été rédigé par l’État haïtien en réponse à des questions posées par le Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes. Il décrit les actions prises par le gouvernement pour améliorer la situation des femmes et la façon dont la question du genre a été prise en compte dans les programmes visant le développement et l’assistance humanitaire. Il discute des mesures prises pour assurer la sécurité des femmes, lutter contre les discriminations et améliorer le système judiciaire.

Ce rapport se penche sur l’application de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDEF) en Haïti de 2006 à 2014, et plus particulièrement sur les actions prises par l’État dans le cadre d’autres accords auxquels le pays a adhéré.

Ce texte présente l’analyse du dossier haïtien produite par le Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes (CÉDEF) lors de sa quarante-troisième session.

Le 19e siècle et le début du 20e siècle sont des périodes marquées par les écrits féministes qui traitent des discriminations que vivent les Haïtiennes. Ces œuvres sont rédigées par des femmes proches d’hommes au pouvoir. Ce texte explique la conséquence de ce phénomène auprès des femmes des classes défavorisées, qui sont sous-représentées dans les recherches. L’auteure insiste sur le fait que ceci renforce l’idée que le féminisme n'est accessible qu’aux classes supérieures de la société.

Cet ouvrage collectif vise à attirer l’attention sur 15 femmes haïtiennes et leurs contributions à la vie sociale, politique et culturelle en Haïti : Marie Claire Heureuse Bonheur, Catherine Flon, Madeleine Sylvain-Bouchereau, Yvonne Sylvain, Mona Guérin, Ertha Pascal-Trouillot, Suzy Castor, Yvette Bonny, Mimi Barthélémy, Mireille Neptune Anglade, Michèle Duvivier Pierre-Louis, Marie Alice Théard, Marie-Laurence Jocelyn Lassègue, Liliane Pierre-Paul et Colette Lespinasse. (Résumé par Mouka)

1. Relasyon sosyal ant fanm ak gason.
«Relasyon sosyal fanm ak gason» se sa yo rele an franse « genre». «Relasyon sosyal fanm ak gason» se tout wòl ak konpòtman sosyete a konstwi pou fanm ak gason. Konsa, li sèvi ak lakilti, sistèm ekonomik ak politik la pou li fè yon seri lide pase sou chak sèks yo.

The deteriorating human rights and security situation has further weakened an already struggling justice system. Fear and intimidation are now a reality that many lawyers and judges must face. It is reported that between 2016 and 2020, courts throughout the country only managed to open for a total of 205 days.1 The independence of the justice system is under attack in ways never before seen. Political divisions have spilled over to the justice sector, and tensions between the judiciary and the executive have reached an all-time high.